Je suis étrangère à quelque chose de moi-même, différente non pas des autres mais différente des miens.

Plongez dans l’émotion et la puissance du silence avec « Nos Pères ne rêvent plus en roumain ». Cette pièce suit l’histoire captivante de Wanda et Lia, deux jeunes femmes liées par le théâtre et un mystère familial intriguant : pourquoi leurs pères les ont éloignées de leur pays d’origine ?
À travers des monologues intenses et des dialogues poignants, les actrices révèlent les secrets enfouis du passé, explorant les thèmes universels de l’identité, de la quête de soi et de la résilience face au silence. Une expérience théâtrale immersive qui vous transporte au cœur de la recherche de vérité, offrant une méditation poétique sur la force nécessaire pour reconstruire des liens familiaux brisés.
« Nos Pères ne rêvent plus en roumain » promet un voyage onirique, une invitation à découvrir la beauté troublante des non-dits.

“La Roumanie est (…) un silence qu’elles tentent de briser à travers ce spectacle. À deux, et parfois trois, elles font défiler leur histoire, dévoilent un pays que peu connaissent, souvent réduit à quelques clichés.” Kilian Orain – TÉLÉRAMA TT

“Un duo facétieux et sentimental qui frôle l’ingénuité mais parle avec cœur de la construction de soi à travers une relation difficile avec le père.” Louis Juzot – HOTTELLO

“Un spectacle plein de fraîcheur sur l’exil et la quête des origines”. Sarah Franck – ARTS-CHIPELS

“ Lia Ionel et Wanda Efremov-Bobescu présentent au Théâtre de La Flèche un très beau spectacle autour de l’exil, l’intégration, la mémoire et la transmission. “ Marie-Céline Nivière – L’OEIL D’OLIVIER

“Au Théâtre La Flèche, tous les mercredis, deux amies, comme deux sœurs, s’attaquent aux stéréotypes sur les doubles identités avec la même ardeur qu’on shooterait dans un tas de feuilles mortes (dorées).” Amélie Blaustein-Niddam – CULT.NEWS

“ Elles ont la gouaille et la tendresse, la légèreté et la profondeur, l’audace et la modestie de cette adresse aux pères et elles parlent d’altérité.” Brigitte Remer – UBIQUITÉ CULTURE(S)