I.R. est un seule en scène mais on ne le comprend qu'à la fin parce qu'il y a beaucoup de personnages.

En s’appuyant (au sens figuré) sur une série de diapositives, Louise Belmas découvre que certaines choses ont eu lieu, alors que d’autres pas.
On évoquera notamment la victoire de l’Estonie à l’Eurovision, un crash aérien, ou le fait que le violon c’est pas comme le vélo (au sens propre).
Un spectacle musical qui propose de s’émanciper des normes pour inventer d’autres possibles, parce que bon.

“Louise Belmas s’invente des vies possibles, elle joue du mensonge comme une ouverture à la fiction, et de la fiction comme la possibilité d’appréhender sa propre histoire, réconcilie musique savante et populaire, humour et mélancolie, le rêve et la mort.” Marie Plantin – SCENEWEB

“L’écriture est ciselée, l’interprétation au rasoir, les rebondissements abondent, les signes utilisés se retournent sur eux-mêmes, l’humour est omniprésent.”  Amélie Blaustein Niddam et Mathieu Dochtermann – CULT. NEWS

“Je suis sorti convaincu et séduit par ce spectacle touchant. Avec naturel, elle pose son regard sur le sens des choses, sens propre, sens figuré. La réalité est un point de vue. Premier coup de cœur 2024.” Guillaume d’Azemar de Fabrègues – JE N’AI QU’UNE VIE

“Louise Belmas nous émerveille avec une étonnante souplesse, un regard malicieux, un timbre de voix souvent posé mais parfois ironique mais jamais dans l’excès, une précision et une fluidité gestuelle. Une pépite théâtrale à découvrir !” Elisabeth Naud – THÉÂTRE DU BLOG

“Une performance singulière qui dégage une poésie souriante et inventive, digne de l’OULIPO aussi avec ses diapos trouvées par hasard qui balisent une balade enchantée et musicale de haute volée, concoctée avec Julie Roué.” – HOTTELLO

“En une heure et quart seulement, une femme au verbe affûté vous offre plusieurs allers-retours vers son enfance mais aussi un voyage en avion à Casablanca, des cours de violon, une expérience immersive dans le corps d’un candidat estonien à l’Eurovision (quelles chorés!) et plusieurs hallucinations.” – LIBÉ CULTURE